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Régions frontalières

L’université collabore étroitement avec la Belgique, notamment au travers du programme Interreg France-Wallonie-Vlaanderen, dont les retombées bénéficient aux deux régions frontalières.

Le programme de coopération territoriale européenne Interreg France-Wallonie-Vlaanderen s’inscrit dans une volonté de favoriser les échanges économiques et sociaux entre quatre régions frontalières : les régions Hauts-de-France et Grand Est en France ; la Wallonie, la Flandre occidentale et orientale en Belgique. Il vise à associer des compétences communes tout en valorisant les richesses de chaque région concernée, et ce, au bénéfice des populations de la zone.

RISSC Amélioration transfrontalière de la Prévention et de la Gestion des Risques du Sous-Sol engendrés par les terrains sous-Cavés

 

Date de début : 01/01/2018
Date de fin : 31/12/2021

Financement
Budget total du projet : 1 493 060,19 €
Montant du financement FEDER total : 746 530,09 €
Taux de financement : 50%

Objectifs
En raison d’une géologie continue et d’une histoire industrielle commune, les Régions de Wallonie et des Hauts-de-France comportent sur leur territoire de nombreuses cavités souterraines d’origines anthropique (mines, carrières …) et naturelle (karsts…), qui induisent souvent une menace à l’égard de la sécurité des personnes, des biens immobiliers, des projets d’aménagement et de l’attractivité socio-économique de certains territoires. C’est pourquoi le projet Risques Sous-Sol engendrés par les terrains sous-Cavés, RISSC, vise l'amélioration et la mise à disposition d’outils en matière de sécurité, d’aménagement du territoire, tant en prévention qu'en gestion d'incidents.

Résultats attendus

  • L’inventaire des objets souterrains et des menaces et la caractérisation des effets redoutés en surface
  • Le développement de solutions locales adaptées pour suivre l’évolution de l’aléa et réduire le risque 
  • La création d’un pôle transfrontalier de connaissances et d’expertises à destination des acteurs locaux et du public, permettant la mise à disposition d’informations adaptées et directement utilisables.

Partenaires

  • Institut Scientifique de Service Public (ISSeP) 
  • Centre d’études et d’expertises sur les risques, l’environnement, la mobilité et l’aménagement (CEREMA)
  • Association des Communes Minières du Nord / Pas de Calais (ACM 59/62) 
  • Institut national de l’environnement industriel et des risques (INERIS)
  • Université de Mons (UMONS) Service de Génie Minier
  • Service Public de Wallonie (SPW)
  • Ville de Lille
  • Ville de Mons

Site internet
 

ALT CTRL TRANS ALTernative au Chrome Tri et hexavaLent pour le secteur du TRANSport et de la TRANSformation

 

Date de début : 01/01/2019
Date de fin : 31/12/2022

Financement
Budget total du Projet : 1 981 521€ 05
Montant du financement total FEDER : 990 760€ 51
Taux de financement : 50%

Objectifs
Le projet ALT CTRL TRANS propose de développer et promouvoir la mise en œuvre, à l'échelle pilote, d’une ou plusieurs alternatives au chromage dur (et aux méthodes actuelles de chromage trivalent) basées sur des revêtements métalliques, pour le secteur du transport et de la transformation métallique.

Résultats attendus

  • Mettre au point des revêtements de nickel-bore exempts de métaux lourds
  • Développer de technologies basées sur les bains à base de chrome trivalent (non toxique) aux propriétés améliorées par rapport aux dépôts existants
  • Perfectionner la méthode de dépôt par Plasma Transferred Arc (PTA).

Partenaires

  • Université de Mons
  • CRITT M.D.T.S.
  • Materia Nova
  • Le Forem Office Wallon de l’Emploi et de la Formation
  • Arts et Métiers Paris Tech. Campus de Lille (ENSAM)
  • Sirris
  • VOM

Contact
Francine ROUDET
Didier CHICOT

Site internet

DEPOLLUTAIR Couplages innovants de techniques de traitement des composés organiques volatils (COV) : Nouvelles voies pour améliorer la qualité de l’air

 

Date de début : 01/10/2016
Date de fin : 30/09/2021

Financement
Budget total du projet : 2 722 790€ 46
Montant du financement FEDER :  264 191€ 32
Taux de financement : 55 %

Objectifs
La politique actuelle de réduction des émissions de COV est de donner une priorité à la substitution totale ou partielle des COV utilisés à la source. Cependant, lorsque cette substitution à la source n’est pas possible pour des raisons techniques, il est alors nécessaire de trouver des solutions pour traiter ces émissions par de nouveaux procédés adaptés à de faibles concentrations de COV, tout en ayant une bonne efficacité énergétique et permettant un traitement total sans formation de sous-produits.

Pour répondre à cette problématique industrielle et sur base d’une expertise précédente relative à la réduction des émissions de COV industrielles, le projet DepollutAir propose de développer de nouvelles méthodes de traitement innovantes basées sur le couplage de différentes techniques.

Résultats attendus
Le projet DepollutAir regroupe des compétences interrégionales complémentaires pour permettre le développement de ces nouveaux procédés. En effet, les techniques considérées pour le couplage sont l’adsorption, la catalyse, la photo-catalyse et les technologies plasma. L’UMONS apporte une expertise dans le développement d’unités pilotes et l’abattement des polluants par adsorption, l’Université de Namur (UNamur) apporte une expertise dans la synthèse des matériaux et la photo-catalyse, l’Université de Lille (ULille) apporte une expertise dans l’abattement des COV oxygénés par catalyse, l’Université du Littoral-Côte d’Opale (ULCO) apporte une expertise dans l’abattement des COV par catalyse et l’Université de Gand (UGhent) apporte une expertise dans la technologie plasma. Les différents couplages utilisés dans le projet sont : « Adsorption-Catalyse », « Plasma-Catalyse » et « Adsorption-Photocatalyse » .

Pour répondre aux besoins de l’industrie et des autorités locales, nous devrons compléter nos études par des mesures réelles de polluants sur les sites industriels (ULCO)

Finalement, les procédés de traitement proposés doivent s’inscrire dans un développement durable et être sûrs du point de vue toxicologique, sans formation de molécules possédant un impact toxique pour l’homme à court et moyen termes. Par conséquent, pour valider nos méthodes, les études de toxicologie seront développées par une équipe de l’ULCO.

Ce projet compte accompagner les entreprises transfrontalières dans une démarche environnementale et durable pour leur proposer des solutions adaptées et innovantes pour le traitement des COV. Deux partenaires industrielles – un en France (TIM) et un en Belgique (Volvo) – seront impliqués à chaque étape du projet (de l’émission de COV à la solution).

Partenaires

  • Université du littoral- Côte d’Opale
  • Université de Namur
  • Universiteit Gent
  • Université de Mons

Contact

Site internet

 

 

 

PATHACOV Diagnostic précoce des pathologies humaines par analyse des composés organiques volatils dans l'air exhalé

 

 

Date de début : 01/10/2018 
Date de fin : 30/09/2022

Financement 
Budget total du Projet : 3 093 067 € 
Montant du financement FEDER : 127 304€ 59
Taux de financement : 50 %

Objectifs
L’objectif du projet PATHACOV est de fournir aux médecins un outil électronique communicant et facile à utiliser pour des pré-diagnostics non invasifs et précoces du cancer du poumon. Pour développer cette technologie, le consortium PATHACOV comprend des équipes multidisciplinaires regroupant médecins, physiciens, chimistes, électroniciens, spécialistes des capteurs et des réseaux de capteurs. La principale difficulté est de pouvoir détecter plusieurs familles de composés organiques volatils (biomarqueurs) à faibles concentrations dans un environnement complexe avec des taux d’humidité très élevés

Résultats attendus
Proposer un nez électronique afin d’identifier des marqueurs spécifiques du cancer broncho-pulmonaire dans l’haleine des patients à risque afin de dépister précocement l’apparition de ces cancers. L’approche multi disciplinaire de notre projet permet d’associer les compétences en physique, chimie et électronique afin de fabriquer un dispositif simple, peu coûteux et non invasif adapté à toutes les populations et utilisable par tous les acteurs de la santé sur nos territoires.

Partenaires

  • CHU Amiens Picardie
  • CHU Lille
  • CHU de Reims
  • Eurasanté
  • IMT Lille Douai
  • KU Leuven
  • Materia Nova
  • Université Liège
  • Université Catholique de Louvain
  • Université de Lille
  • Université de Mons
  • Université de Reims
  • Province West-Vlaanderen

Contact
Régis Matran (IMPECS) : regis.matranchru-lillefr
François Sihrener : francois.sihrenerchru-lillefr

Site internet

ALPO Nouveaux Matériaux Polymères issus de la Biomasse Microalgue

 

Date de début : 01/10/2016
Date de fin : 30/06/2021

Financements
Budget total du Projet pour l’Université : 681 699€ 81 
Montant du financement FEDER ULille : 374 934€ 89
Taux de financement : 55%

Objectifs 
Fabrication de briques de matériaux bioplastiques basés sur les produits dérivés de cultures de biomasse micro-algale

Résultats attendus
Nouveaux procédés de fabrication et méthodes d’analyse de ces briques et nouveaux polymères issus de microalgues

Partenaires

  • UMons (chef de file)
  • URCA
  • AgroParis Tech
  • UGhent
  • KU Leuven

Partenaires associés

  • Aquimer
  • POM
  • IAR
  • Euramaterials
  • Greenwin
    PCG

Contact : Philippe ZINCK - philippe.zinckuniv-lillefr

Site internet

BIOCOMGEST Coordination et communication du portefeuille de projet SMARTBIOCONTROL

 

Date de début : 01/10/2016
Date de fin : 31/03/2021

Financement 
Budget total du projet : 97 889€ 66
Montant du financement FEDER (Université de Lille) : 59 639€ 66
Taux de financement : 60,93%

Objectifs
BioComgest est le projet pilote du portefeuille SmartBiocontrol. Son objectif est d’assurer la gouvernance, la coordination entre les partenaires, la communication et la valorisation des résultats de l’ensemble du portefeuille

Résultats attendus
Les comités d’accompagnement (COMAC) et ainsi qu’une journée commune de symposium sont organisés tous les 6 mois, sur des sites tournant entre les 3 versants (France, Wallonie, Flandre). Des communications orales ou sous forme de posters sont régulièrement présentées dans des congrès internationaux en lien avec le biocontrôle et les thématiques de recherche 

Partenaires
GbsABT (porteur), Université de Lille, PCG, Materia Nova, URCA

Contact : Valérie Leclere - valerie.leclereuniv-lillefr

Site internet

BIOHARV Textiles biosourcés piézoélectriques pour la production d’énergie électrique

 

Date de début : 01/10/2016
Date de fin : 31/03/2021

Financement
Budget total du projet : 2 005 024€ 94
Montant du financement FEDER :  154 435€ 09
Taux de financement : 55 %

Objectifs 
Les récupérateurs d'énergie mécaniques (REM) sont des dispositifs de production d'énergie électrique renouvelable adaptée aux batteries de faible ampérage de nombreux appareils électroniques (smartphones par exemple). Ces technologies innovantes reposent sur l'utilisation de matériaux piézoélectriques. Les polymères biosourcés piézoélectriques sont de sérieux candidats avec de nets avantages en termes d'empreinte carbone, de coût et de mise en forme. En effet, les techniques de la plasturgie et du textile permettent le développement de dispositifs REM 100% en polymère via la fabrication de textiles piézoélectriques multicomposants. Le projet BIOHARV vise à développer un savoir-faire et une expertise locale sur la fabrication/caractérisation de prototypes REM 100% polymère. L’objectif du projet est le développement de prototypes REM et l’amélioration de leurs performances énergétiques.

Résultats attendus
Les activités du projet BIOHARV visent à maitriser/optimiser les procédés de fabrication de fibres/films à base d’acide polylactique biosourcé piézoélectrique (PiezoPLA) et les procédés d’assemblage des prototypes de micro-générateur électrique afin de permettre le développement d’une première génération de prototypes de micro-générateurs d’énergie par effet piézoélectrique. Les activités seront focalisées sur (1) l’optimisation des propriétés piézoélectriques du PiezoPLA à l’échelle laboratoire/pilote, (2) l’optimisation de la durabilité des prototypes et (3) le développement de dispositifs conceptuels en lien avec des marchés applicatifs (micro/macro-générateurs d’énergie et capteurs/transducteurs).

Concernant l’optimisation des propriétés piézoélectriques, de nouvelles formulations avancées PiezoPLA (disponibles commercialement ou home-made) seront développées et qualifiées par les opérateurs. Des caractérisations physico-chimiques/piézoélectriques/énergétiques seront réalisés. Une attention particulière sera également portée sur les caractérisations structurales à l’échelle nanométrique afin d’accroître l’expertise scientifique transfrontalière sur les relations procédés/structures/propriétés et l’optimisation du PiezoPLA. Le remplacement des électrodes métalliques par des électrodes souples sera également considéré via le développement d’électrodes souples 1D/2D adhérentes au PiezoPLA.

Afin de valoriser les diverses technologies (films/bandes/tissus PiezoPLA, prototypes, électrodes souples) et tendre vers des marchés applicatifs, les opérateurs identifieront des applications concrètes avec leurs spécifications géométriques/techniques associées. Une conversion des divers prototypes en dispositifs conceptuels sera réalisée avec la mise au point de tests normés pour la qualification de ces dispositifs (conditions reproductibles et proches des conditions réelles d’utilisation). Les premières réalisations collaboratives permettront de générer de nombreuses actions de communication/valorisation autour de la thématique des polymères piézoélectriques (posters, présentations, articles scientifiques, articles de vulgarisation et organisation d’un atelier en collaboration avec des designers).

Partenaires

  • Institut Mines Telecom Lille Douai (IMT Lille Douai)
  • Université de Mons (UMONS)
  • Université Polytechnique Hauts-de-France (UPHF- LMCPA)
  • Centexbel
  • ARMINES

Contact

Site internet

BIOPROD Nouvelles stratégies de production et de formulation de biopesticides faiblement toxiques

 

Date de début :  01/10/2016
Date de fin : 31/03/2021

Financement
Budget total du Projet : 606 420€ 06
Montant du financement FEDER : 333 993€ 46
Taux de financement : 55 %

Objectifs
L’objectif de BIOPROD est de lever les freins liés à la production industrielle de nouveaux biopesticides via des microorganismes producteurs dans le but de fournir dans un avenir proche des produits plus respectueux de l’Homme, de l’environnement et accessibles à un coût raisonnable.

Résultats attendus sont

  • L'optimisation des conditions de production et de purification des molécules ;
  • Le développement de procédés innovants de production et de purification des molécules ;
  • Des études détaillées de biodégradabilité et de toxicité des molécules sur différents modèles
  • L’étude de la filière des produits phytosanitaires et l’analyse du marché transfrontalier par la rencontre d’acteurs
  • La réalisation de nombreux essais de formulation afin de rendre ces molécules moins toxiques, plus stables, plus actives et faciles d'utilisation pour permettre leur commercialisation.

Partenaires
Université de Lille (porteur), Eurasanté, Lipofabrik, ISA Lille, Université de Liège, Université Catholique de Lille, Université de Gent, Materianova

Contact : François Krier - francois.krieruniv-lillefr

Site internet

BIOSCREEN Nouvelles molécules biosourcées et multifonctionnelles pour le biocontrôle des agents phytopathogènes des cultures de la région transfrontalière

 

Date de début : 01/10/2016
Date de fin : 31/03/2021

Financement
Budget total du projet : 108 220€ 18 
Montant du financement FEDER :  59 521€ 13
Taux de financement : 55 %

Objectifs
Répondre à une demande croissante pour le développement d’une agriculture durable respectueuse de l’environnement en recherchant de nouvelles molécules à activité antifongique et/ou inductrices de la résistance des plantes pour lutter contre des maladies des cultures sur la région transfrontalière.

Résultats attendus
Identification de nouvelles molécules d’origine microbienne, multifonctionnelles pour le biocontrôle des agents phytopathogènes des cultures transfrontalières (Vigne, Blé, Cultures maraichères telles que poireaux ou salades). Les molécules recherchées et caractérisés sont des métabolites amphiphiles (Rhamnolipides et Lipopeptides) produits par des microorganismes du sol (microbiome de la rhizosphère)

Partenaires

  • URCA (porteur)
  • Université de Lille
  • Université Catholique de Louvain
  • Université du Littoral Côte d'Opal
  • Matéria Nova
  • GbXABT
  • Université d'Artois
  • Université de Gent
  • JUNIA

Contact : Valérie Leclere - valerie.leclereuniv-lillefr

Site internet

BLUE Les Berges comme Leviers d’actions Urbanistiques et Environnementales

Date de début : 01/10/2019
Date de fin : 31/03/2021 - décalé au 31/12/2021 à cause de la crise sanitaire

Financements
Budget total du projet : 30 000 euros
Montant du financement FEDER total : 30 000 euros
Taux de financement FEDER : 100%

Objectifs du projet
Les friches fluviales contiennent différentes ressources :

  • des zones humides, riches en biodiversité
  • des espaces publics, en lien avec l’eau,
  • du gisement foncier
  • des infrastructures logistiques
  • des traces patrimoniales

Ces atouts en font des espaces soumis à la pression immobilière. Vu l’objectif de la CE, visant à supprimer d’ici à 2050 l’extension des surfaces urbanisées et sa déclinaison dans les politiques régionales, cette pression ne fera que croitre. L’élaboration d’un atlas pédagogique et commenté et d’un jeu à portée pédagogique vulgarisant le rôle des acteurs du territoire transfrontalier, visent à valoriser toutes les ressources des friches fluviales et les métiers liés, afin de sensibiliser la population et les acteurs locaux à une gestion intégrée de ces ressources, en amont de futurs projets urbains. Ces dispositifs pédagogiques seront produits par des journées d’échanges et ateliers d’étudiants en architecture/urbanisme et disséminés au sein d’une exposition. 

Résultats attendus
Pour répondre aux défis sur les friches fluviales, riches en ressources, les solutions proposées visent, d’une part, l’échange des connaissances à travers des journées d’échanges rassemblant des chercheurs issus de disciplines variées, des étudiants, des collectivités et gestionnaires locaux, et d’autre part, la valorisation et la dissémination de ces échanges grâce à l’élaboration d’un atlas pédagogique et commenté, un jeu vulgarisant le rôle des acteurs et l’organisation d’une exposition.

Partenaires

  • Université de Mons (porteur)
  • Université de Lille
  • Ville de La Louvière
  • Intercommunale de développement économique et d’aménagement du Coeur du Hainaut
  • SEM Ville Renouvelée

Contact : Pauline Bosredon

Site internet

DIG-E-LAB Recherche et innovation au service de la pédagogie numérique

Date de début : 01/10/16
Date de fin : 31/03/21

Financement
Budget total du projet : 2 277 000 euros
Montant du financement FEDER : 1 138 500 euros
Taux de financement : 50%

Objectifs du projet 
L’objectif du projet Dig-e-Lab est de créer une dynamique d’excellence autour des dispositifs de formation en ligne, utilisant des supports vidéos, pour le contexte transfrontalier.

Le consortium cible des formations dans des thématiques précises : les formations au bilinguisme, les formations dédiées aux métiers en pénurie/émergents et les formations aux métiers techniques avec des spécificités de part et d’autre de la frontière.

Résultats attendus 
Trente cas d'études pertinents et variés seront alors analysés pour confirmer les hypothèses de départ mais aussi pour dégager des caractéristiques, des moteurs et des bonnes pratiques qui seront mises en avant par les partenaires au travers d'une communication adéquate.

Ensuite, l'équipe lancera des actions de conception d'outils technologiques et non-technologiques qui seront intégrés dans 9 contenus existants dans le but de rendre l'outil pédagogique plus adaptatif et plus stimulant pour l'apprenant.

Le partenariat évaluera l'impact et la plus-value de ces dispositifs sur 3 terrains d'expérimentation et mettra en oeuvre des actions régulières de retour vers le terrain par des rencontres et des workshops avec les gestionnaires de formation. Un travail de dissémination et de valorisation sera réalisé à travers des conférences, articles de presse et newsletters répartis de manière adéquates sur toute la durée du projet et sur les 3 régions ciblées par le celui-ci.

Partenaires 

  • Université de Lille
  • Eurometropolitan e-campus
  • Université ouverte de la Fédération Wallonie-Bruxelles
  • Katholieke Universiteit Leuven
  • Multitel
  • Agence du Numérique

Contact : Pierre André CARON pierre-andre.caronuniv-lillefr

Site internet

TRANSUNIV Education universitaire et insertion professionnelle en contexte transfrontalier

 

Date de début : 1er janvier 2018
Date de fin : 31 mars 2021

Financement
Budget global : 1 589 411€
Il est financé à hauteur de 50% par les 6 partenaires et à 50% par Interreg, West-Vlaanderen, Oost-Vlaanderen et Fédération Wallonie-Bruxelles.

Objectif
Le projet Interreg TRANSUNIV a pour ambition de construire un espace de coopération pérenne dans la zone transfrontalière Hauts-de-France-Wallonie-Flandre entre les universités partenaires et les acteurs socio-économiques, en ciblant la mobilité et l’insertion professionnelle des étudiants et doctorants. TRANSUNIV est destiné à assurer un impact durable sur les dispositifs de mobilité étudiante, de développement des stages ou de formations en alternance au sein des cursus de masters ainsi que des actions liées au doctorat en offrant des modules adaptés pour une meilleure connaissance des contextes socio-économiques, entrepreneuriaux et institutionnels des 3 versants de la frontière.

Actions
Le projet se décline en plusieurs actions menées conjointement par les 6 opérateurs partenaires : 

  • Le séminaire « projet d’innovation » dont l’objectif est de créer une collaboration concrète entre universités et un ou plusieurs partenaires non académiques (compagnies, organisations publiques ou privées) de la région transfrontalière. Pendant 3 jours, des doctorant-e-s de toutes les disciplines sont amenés à travailler ensemble sur des questions préalablement déterminées par des chercheurs seniors et à proposer des solutions innovantes. Deux éditions ont été organisées jusqu’à maintenant : une en 2018 à Mons autour du thème des « smart cities » et une en 2019 à Valenciennes sur le thème de la « santé digitale ».
  • Le lancement d’appels d’aide à la mobilité transfrontalière pour les doctorants et étudiants. Ces actions d’accompagnement se déroulent tout au long de l’année.
  • L’organisation de forums pour l’emploi dont le but est d’offrir aux doctorants une poursuite de carrière dans le monde académique mais également dans le monde socio-économique. Pour les 2 éditions organisées en 2018 à Gand et en 2019 à Mons, les doctorants ont bénéficié de contacts privilégiés avec des professionnels. Ils ont également pu assister à de nombreux ateliers destinés à les préparer au processus de recrutement.

La prochaine édition du PhD Job Day aura lieu en février 2021 en mode digital.

  • L’organisation de formations sur toute la région transfrontalière avec pour ambition le développement des compétences transversales des doctorants d'ordre intellectuel, méthodologique, personnel et social. A ce jour 14 formations ont été dispensées et près de 200 doctorants les ont suivies.
  • La rédaction du « guide pour un stage original » qui vise à favoriser et à amplifier la mobilité des étudiants en offrant une multitude d’informations. La sortie de ce guide est prévue pour la fin d’année 2020 ou tout début d’année 2021.
  • Le rapprochement entre les doctorants / masters et le monde socio-économique par l’organisation de visites d’entreprises sous l’angle de la politique RH et de l’employabilité des différents profils.

A noter que la crise sanitaire a eu un fort impact sur le premier semestre de 2020. Néanmoins les partenaires sont restés mobilisés pendant l’arrêt de l’activité. Les réunions et comités ont continué à se tenir. Ils se sont adaptés au mieux aux nouvelles contraintes et ont proposé des événements digitaux à la rentrée.

Partenaires

  • Université de Lille (chef de file)
  • Katholieke Universiteit Leuven
  • Universiteit Gent
  • Université de Mons
  • Université Catholique de Louvain (UCLOUVAIN FUCAM MONS)
  • Université de Namur

Contact : Frederic Luginsland : frederic.luginslanduniv-lillefr

Site internet

 

Contact

Service transversal d'expertise et aide au montage de projets : stempuniv-lillefr