L’université collabore étroitement avec la Belgique, notamment au travers du programme Interreg France-Wallonie-Vlaanderen, dont les retombées bénéficient aux deux régions frontalières.
Le programme de coopération territoriale européenne Interreg France-Wallonie-Vlaanderen s’inscrit dans une volonté de favoriser les échanges économiques et sociaux entre quatre régions frontalières : les régions Hauts-de-France et Grand Est en France ; la Wallonie, la Flandre occidentale et orientale en Belgique. Il vise à associer des compétences communes tout en valorisant les richesses de chaque région concernée, et ce, au bénéfice des populations de la zone.
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CleanAirBouw
Date de début : 01/07/2024
Date de fin : 30/06/2028Budget total du projet : 4 020 598,61€
Montant du financement FEDER Ulille : 267 000,05€ (taux de financement 60%)Objectifs du projet :
Notre objectif est de renforcer la protection de l’environnement et de la santé par une réduction de la pollution de l’air urbain par le développement de procédés de dépollution de l’air pour un bâtiment plus sain. Le projet vise à informer les occupants des dangers de cette pollution, d’aider au choix d’une technique et de développer des dispositifs de surveillance et des procédés de traitement de l’air intérieur (purificateur/VMC) et extérieur (traitement des fumées issues de la biomasse).Résultats attendus :
Le projet doit permettre le développement d'au moins 3 dispositifs de surveillance de la qualité de l'air basés sur des microcapteurs spécifiques aux polluants, au moins 2 systèmes de traitement de l'air intérieur par couplage et 2 systèmes de traitement des gaz issus de la combustion de la biomasse. Ces solutions développées par les opérateurs de CleanAirBouw intéresseront les entreprises/TPE/PME transfrontalières pour la commercialisation des produits et permettront d'améliorer la qualité de l'air de nos régions.Partenaires :
- ULCO (France)
- UGent (Belgique)
- ULille (France)
- UMons (Belgique)
- Materia Nova (Belgique)
- UNamur (Belgique)
- Cluster Eco-construction (Belgique)
- CEREMA (Belgique)
Contact :
- Opérateur Chef de File ULCO : stephane.siffert[at]univ-littoral[point]fr
- Opérateur ULille : jean-francois.lamonier[at]univ-lille[point]fr
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CIRCOPLAST
Date de début : 01/10/2024
Date de fin : 30/09/2028Budget total du Projet (ensemble du consortium) : 2 892 128,94€
Montant du financement FEDER 1 735 277,34€ (Budget : 350 000€ ULille, taux de financement 60%)Objectifs du projet :
Bien que de nombreux matériaux plastiques fassent déjà l'objet d'une collecte sélective aujourd'hui et que certains d'entre eux soient effectivement recyclés, nous constatons que les plastiques contaminés par des retardateurs de flamme bromés (non conformes aux normes REACH) ne sont pas ou pas suffisamment recyclés et sont incinérés ou, pire encore, mis en décharge.Le projet CIRCOPLAST vise à répondre à cette situation et à mettre au point une technologie d'extraction innovante pour éliminer les retardateurs de flamme bromés des déchets plastiques. En effet, la réutilisation de ces plastiques "difficiles" comme nouvelles matières premières permet de réduire considérablement la quantité de déchets plastiques.
Le projet CIRCOPLAST s'appuie sur les résultats obtenus dans le cadre du projet INTERREG FWVL VALBREE et se concentre sur le développement d'un processus vert et innovant sans utilisation de solvants toxiques et en utilisant des technologies de pointe (fluides supercritiques, rayonnement UV-visible et processus enzymatiques). Le consortium VALBREE a réussi à démontrer un processus innovant à l'échelle labo. Afin d'accroître la faisabilité économique de la méthode, le projet Interreg VI, CIRCOPLAST étudiera si le processus discontinu peut être converti en un processus d'extrusion continu et recherchera des synergies avec d'autres techniques de décontamination. À cette fin, une extrudeuse à double vis sera équipée de lampes UV-visible, d'une zone où l'extraction du scCO2 est possible et des co-solvants seront ajoutés de manière à permettre l'extraction des composants bromés au cours du processus d'extrusion. En outre, un recyclage biologique/enzymatique sera mis au point pour recycler les matériaux en polyuréthane, qui sont aussi souvent considérés comme des polymères difficiles à recycler et fonctionnalisés avec divers retardateurs de flamme interdits.
Un deuxième pilier important du projet est le développement d'une nouvelle génération de formulations de polymères basées sur des blocs de construction recyclés d'une part et des blocs de construction durables d'origine biologique d'autre part. Ce deuxième projet pilote utilisera donc des blocs de construction de lignine biosourcés pour produire une nouvelle génération de polymères et de retardateurs de flamme.
Résultats attendus :
Les développements du projet CIRCOPLAST permettront aux entreprises des trois régions d'adopter des technologies avancées et des processus innovants qui sont économiquement viables, efficaces sur le plan énergétique et respectueux de l'environnement. Cet avantage permettra aux entreprises telles que les recycleurs et les transformateurs de plastiques de développer un savoir-faire unique dans le domaine du retraitement des plastiques recyclés et de leur revalorisation en tant que nouvelle matière première. L'objectif final est d'apporter un changement significatif à la situation actuelle et de promouvoir la transition vers une économie circulaire des plastiques qui respecte les normes de qualité, les exigences de sécurité et les considérations environnementales.L'approche transfrontalière de CIRCOPLAST s'appuie sur l'expertise commune des partenaires pour proposer des solutions synergiques aux entreprises de la région. L'intégration des recyclats dans un produit nécessite non seulement des compétences en plasturgie et en recyclage, mais aussi une expertise dans la caractérisation des flux et l'évaluation des propriétés des produits finis. En combinant l'expertise unique des partenaires, il peut être possible de fournir des solutions même pour les polymères aujourd'hui difficiles à recycler.
Partenaires :
CENTEXBEL
CNRS
Université de Lille
Université de Gand
VITO
MATERIA NOVA
CREPIM
Contact (ULille) : philippe.supiot[at]univ-lille[point]fr
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Elast2Sustain Élastomères thermoplastiques (TPEs) durables à partir de matériaux biosourcés ou recyclés
Date de début : 01/10/2024
Date de fin : 30/09/2028Budget total du projet : 2 773 592,38€
Montant du financement FEDER pour Ulille 331 299,84€ (taux de financement 60%)Objectifs du projet :
Les connaissances relatives au recyclage des élastomères thermoplastiques (TPE) en fin de vie et à la production de blocs de construction durables (par exemple, les blocs de construction dérivés de la biomasse ou des flux de déchets TPE non recyclables) sont à peine présentes parmi les entreprises de la région frontalière. Pour répondre à ces questions, le groupe central d'ELASTOPLAST (composé de Centexbel, URCA, ULille et KU Leuven) a décidé de réunir à nouveau ses forces. Les forces et les faiblesses du noyau ont été analysées et il a été décidé de faire appel à l'expertise de Certech pour la partie recyclage chimique. Afin d'atteindre un groupe cible encore plus large au sein de la région Interreg, Euramaterials a également été ajouté au consortium en tant que partenaire.On s'attend à ce que les TPE puissent être retraités en matières premières utilisables grâce à diverses techniques de recyclage. Cependant, le choix de la technique de recyclage la plus appropriée dépend fortement de la forme, de la dureté et de la contamination des produits TPE. Dans un premier temps, le recyclage mécanique sera étudié dans le but d'obtenir des regranulés utilisables qui pourront être réutilisés comme matières premières dans divers processus de transformation du plastique (extrusion, moulage par injection, impression 3D). Pour les flux de TPE difficiles à recycler mécaniquement (flux de plastiques mélangés et/ou contaminés), le recyclage chimique peut constituer une alternative. Deux techniques de recyclage chimique différentes, la pyrolyse (craquage thermique ou catalytique des matériaux en huile utilisable ou en produits gazeux) et la dépolymérisation chimique (décomposition en monomères ou oligomères), seront étudiées en profondeur.
Enfin, le développement d'une nouvelle génération de TPE durables à partir de blocs de construction récupérés par recyclage chimique, d'une part, et de blocs de construction biosourcés, d'autre part, sera étudié. La mise à l'échelle des différentes techniques de recyclage et de synthèse sera démontrée aux entreprises de recyclage et aux entreprises de transformation des plastiques de la région frontalière.
Dans le cadre de ce projet, nous nous concentrerons donc sur trois projets pilotes développés conjointement (recyclage mécanique et chimique du TPE et développement d'un TPE durable).
De cette manière, le projet transfrontalier vise à contribuer au développement de produits fabriqués à partir de matériaux recyclés et/ou biosourcés dans les entreprises de la région Interreg. Ce projet s'inscrit donc parfaitement dans le cadre du Green Deal européen et de la Circular Plastics Alliance (CPA), dont l'objectif est de porter le marché européen des plastiques recyclés à 10 millions de tonnes d'ici 2025. Le recyclage des matériaux TPE peut donner un élan supplémentaire au secteur et augmenter de manière significative les volumes de matières recyclées.
Partenaires :
Centexbel (chef de file)
Certech
Université de Reims Champagne Ardennes
Université de Lille
KU Leuven
Euramaterials
Partenaires associés : Catalisti vzw, Pôle Greenwin
Contact : Philippe ZINCK, UCCS, Bât C3, Cité Scientifique - philippe.zinck[at]univ-lille[point]fr – 03 20 43 68 70
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SAFE SurfAce Fonctionnalisée par plasma pour Environnement bio-médical
Date de début : 01/10/2024
Date de fin : 30/09/2028Budget total du Projet : 2 809 828,86 €
Montant du financement FEDER : 1 685 897,29 € (taux de financement 60%)Objectifs du projet :
Le projet SAFE a pour objectif d’élaborer et de combiner des technologies de traitements de surface par voies plasma et sèche pour microstructurer et nanostructurer des surfaces de biomatériaux en titane destinés à la fabrication d’implants médicaux afin d’en améliorer les propriétés fonctionnelles telles que l’ostéo-intégration. Un deuxième objectif du projet est de mettre à disposition une plateforme de caractérisation.Résultats attendus :
Les résultats attendus sont l’obtention de matériaux en titane, dans un premier temps avec une géométrie simple de plaques, revêtus par des couches leur conférant des propriétés améliorées d’ostéo-intégration, d’implantation, de prévention des inflammations et des infections. En fin de projet, la mise en place, à l’échelle pilote, d’une ou plusieurs technologies innovantes sur des petites pièces réelles est attendue.Partenaires :
- Université de Mons (Umons)
- Centre Régionale d’innovation et de Transfert de Technologie – Matériaux Innovantx (CRITT)
- Université de Lille (ULille)
- Université Polytechnique Hauts de France (UPHF)
- Materia Nova ASBL (MaNo)
- Université de Gant (UGent)
Contact : Matthieu Touzin (matthieu.touzin@univ-lille.fr)
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TRANS-LIPO Développement de Biostimulants et de biofongicides innovants à base de molécules issues de microorganismes
Date de début : 01/07/2024
Date de fin : 30/06/2028Budget total du projet : 2 320 655,70 €
Montant du financement FEDER : 1 392 393,40 € (taux de financement 60%)Objectifs du Projet :
- Exploiter le potentiel des lipopeptides et des glycolipides bactériens en tant que produits de nouvelle génération à utiliser comme biopesticides et/ou stimulateurs de la défense des plantes
- Optimiser la production de ces molécules bioactives et leur formulation pour garantir une efficacité indépendante des changements climatiques
- Contribuer au développement d'une agriculture durable, réduction des coûts des intrants, préservation des ressources naturelles, création d'emplois locaux et coopération entre les acteurs de la région transfrontalière
Résultats attendus :
- Optimisation de la production des lipopeptides par génie métabolique à partir des souches naturellement productrices (MT4)
- Optimisation de la purification des lipopeptides et analyse de leur efficacité vs extraits bruts (MT4)
- Évaluation de la toxicité et de la mutagénicité des molécules produites sur différentes lignées cellulaires selon des tests reconnus par l’EFSA (MT5)
- Montée en échelle des procédés de production, d’extraction, adaptés aux différentes familles de lipopeptides en vue de l’obtention de quantités permettant d’évaluer leur efficacité en serre ou aux champs (MT4 et MT6, et pour les projets TransControl, TransPest).
Partenaires :
- Université de Reims Champagne Ardenne (URCA)
- Université de Liège (ULiège)
- Université de Gant (UGent)
- Université Catholique de Louvain (UCLouvain)
- Université de Lille (ULille)
- JUNIA
Contact pour l’Université de Lille : François COUTTE (francois.coutte@univ-lille.fr)
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VerAdMa Le VERre se vit en ADditive MAnufacturing
Date de début : 01/07/2024
Date de fin : 30/06/2028Budget total du projet : 2 069 042,94€
Montant du financement FEDER Ulille : 276 158,23€ (taux de financement 60%)Objectifs du projet :
Un défi constant dans le monde du verre est la fabrication d'articles de formes complexes. La gamme de produits existants pourrait être considérablement élargie par l'utilisation de la fabrication additive (FA) dont l’usage est encore peu répandu tant pour des pièces en verre traditionnelles que techniques. Ce projet vise précisément à répondre aux attentes des industriels de la zone Interreg FWVL en promouvant le développement d’approches additives innovantes de mise en forme du verre.Si les technologies de fabrication additives ont énormément progressé ces dernières années, leur utilisation pour la mise en forme d’articles en verre est encore discrète. VerAdMa a précisément pour objectif de franchir ce gap en se proposant d’imbriquer le savoir-faire et l’expérience qui existent dans la ZE au travers de ce réseau d'innovation transfrontaliers pour générer la chaîne de valeurs complète nécessaire à la transition de la technologie FA vers l’écosystème verrier transfrontalier.
La fabrication additive concerne le moule d’un côté et la pièce en verre de l’autre. VerAdMa se focalise sur deux approches additives distinctes : la « fusion » et le « frittage » pour la mise en forme d’articles verriers.
L’approche fusion (VM) se déclinera en 2 voies :
- porter le verre à son point de fusion puis à le couler dans des moules réfractaires imprimés en 3D par Binder Jetting (VM_1)
- exploiter un équipement de Powder Bed Fusion pour assurer la fusion de microbilles de verre, adaptées pour former des articles couche par couche (VM_2)
L’approche frittage (VS) se déclinera également en 2 voies :
- des moules imprimés par procédés 3D, puis remplis par des suspensions/précurseurs de verre (VS_1)
- mise en forme de suspension/précurseur de verre par stéréolithographie (VS_2)
Résultats attendus :
VerAdMa ambitionne le développement préindustriel de procédés FA pour la fabrication d’objets en verre de formes complexes, à transparence élevée et à bonne tenue mécanique. Les articles qui seront délivrés dans le projet VerAdMa ne visent évidemment pas à se substituer aux articles de grande série mais à compléter les gammes par amélioration de certaines étapes connexes au procédé industriel et un élargissement des possibilités offertes.VerAdMa espère que les démonstrateurs des différentes voies de FA du verre généreront des idées d’applications sur toute la zone d’impact, avec une plus-value par augmentation de la demande du marché.
Partenaires :
- INISMA
- Université de Mons
- Université de Lille
- Sirris Wallonie
- Sirris Vlaanderen
- Platinium 3D
Contact : francois.mear[at]univ-lille[point]fr (ULille)
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ALPO Nouveaux Matériaux Polymères issus de la Biomasse Microalgue
Date de début : 01/10/2016
Date de fin : 30/06/2021Financements
Budget total du Projet pour l’Université : 681 699€ 81
Montant du financement FEDER ULille : 374 934€ 89
Taux de financement : 55%Objectifs
Fabrication de briques de matériaux bioplastiques basés sur les produits dérivés de cultures de biomasse micro-algaleRésultats attendus
Nouveaux procédés de fabrication et méthodes d’analyse de ces briques et nouveaux polymères issus de microalguesPartenaires
- UMons (chef de file)
- URCA
- AgroParis Tech
- UGhent
- KU Leuven
Partenaires associés
- Aquimer
- POM
- IAR
- Euramaterials
- Greenwin
PCG
Contact : Philippe ZINCK - philippe.zinck[at]univ-lille[point]fr
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ALT CTRL TRANS ALTernative au Chrome Tri et hexavaLent pour le secteur du TRANSport et de la TRANSformation
Date de début : 01/01/2019
Date de fin : 31/12/2022Financement
Budget total du Projet : 1 981 521€ 05
Montant du financement total FEDER : 990 760€ 51
Taux de financement : 50%Objectifs
Le projet ALT CTRL TRANS propose de développer et promouvoir la mise en œuvre, à l'échelle pilote, d’une ou plusieurs alternatives au chromage dur (et aux méthodes actuelles de chromage trivalent) basées sur des revêtements métalliques, pour le secteur du transport et de la transformation métallique.Résultats attendus
- Mettre au point des revêtements de nickel-bore exempts de métaux lourds
- Développer de technologies basées sur les bains à base de chrome trivalent (non toxique) aux propriétés améliorées par rapport aux dépôts existants
- Perfectionner la méthode de dépôt par Plasma Transferred Arc (PTA).
Partenaires
- Université de Mons
- CRITT M.D.T.S.
- Materia Nova
- Le Forem Office Wallon de l’Emploi et de la Formation
- Arts et Métiers Paris Tech. Campus de Lille (ENSAM)
- Sirris
- VOM
Contact
Francine ROUDET
Didier CHICOT -
BIOHARV Textiles biosourcés piézoélectriques pour la production d’énergie électrique
Date de début : 01/10/2016
Date de fin : 31/03/2021Financement
Budget total du projet : 2 005 024€ 94
Montant du financement FEDER : 154 435€ 09
Taux de financement : 55 %Objectifs
Les récupérateurs d'énergie mécaniques (REM) sont des dispositifs de production d'énergie électrique renouvelable adaptée aux batteries de faible ampérage de nombreux appareils électroniques (smartphones par exemple). Ces technologies innovantes reposent sur l'utilisation de matériaux piézoélectriques. Les polymères biosourcés piézoélectriques sont de sérieux candidats avec de nets avantages en termes d'empreinte carbone, de coût et de mise en forme. En effet, les techniques de la plasturgie et du textile permettent le développement de dispositifs REM 100% en polymère via la fabrication de textiles piézoélectriques multicomposants. Le projet BIOHARV vise à développer un savoir-faire et une expertise locale sur la fabrication/caractérisation de prototypes REM 100% polymère. L’objectif du projet est le développement de prototypes REM et l’amélioration de leurs performances énergétiques.Résultats attendus
Les activités du projet BIOHARV visent à maitriser/optimiser les procédés de fabrication de fibres/films à base d’acide polylactique biosourcé piézoélectrique (PiezoPLA) et les procédés d’assemblage des prototypes de micro-générateur électrique afin de permettre le développement d’une première génération de prototypes de micro-générateurs d’énergie par effet piézoélectrique. Les activités seront focalisées sur (1) l’optimisation des propriétés piézoélectriques du PiezoPLA à l’échelle laboratoire/pilote, (2) l’optimisation de la durabilité des prototypes et (3) le développement de dispositifs conceptuels en lien avec des marchés applicatifs (micro/macro-générateurs d’énergie et capteurs/transducteurs).Concernant l’optimisation des propriétés piézoélectriques, de nouvelles formulations avancées PiezoPLA (disponibles commercialement ou home-made) seront développées et qualifiées par les opérateurs. Des caractérisations physico-chimiques/piézoélectriques/énergétiques seront réalisés. Une attention particulière sera également portée sur les caractérisations structurales à l’échelle nanométrique afin d’accroître l’expertise scientifique transfrontalière sur les relations procédés/structures/propriétés et l’optimisation du PiezoPLA. Le remplacement des électrodes métalliques par des électrodes souples sera également considéré via le développement d’électrodes souples 1D/2D adhérentes au PiezoPLA.
Afin de valoriser les diverses technologies (films/bandes/tissus PiezoPLA, prototypes, électrodes souples) et tendre vers des marchés applicatifs, les opérateurs identifieront des applications concrètes avec leurs spécifications géométriques/techniques associées. Une conversion des divers prototypes en dispositifs conceptuels sera réalisée avec la mise au point de tests normés pour la qualification de ces dispositifs (conditions reproductibles et proches des conditions réelles d’utilisation). Les premières réalisations collaboratives permettront de générer de nombreuses actions de communication/valorisation autour de la thématique des polymères piézoélectriques (posters, présentations, articles scientifiques, articles de vulgarisation et organisation d’un atelier en collaboration avec des designers).
Partenaires
- Institut Mines Telecom Lille Douai (IMT Lille Douai)
- Université de Mons (UMONS)
- Université Polytechnique Hauts-de-France (UPHF- LMCPA)
- Centexbel
- ARMINES
Contact
- Coordinateur Institut Mines Telecom Lille Douai (IMT Lille Douai) : Cédric SAMUEL - cedric.samuel[at]imt-lille-douai[point]fr
- Responsable scientifique de l’Université de Lille : Sophie BARRAU - sophie.barrau[at]univ-lille[point]fr
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BIOCOMGEST Coordination et communication du portefeuille de projet SMARTBIOCONTROL
Date de début : 01/10/2016
Date de fin : 31/03/2021Financement
Budget total du projet : 97 889€ 66
Montant du financement FEDER (Université de Lille) : 59 639€ 66
Taux de financement : 60,93%Objectifs
BioComgest est le projet pilote du portefeuille SmartBiocontrol. Son objectif est d’assurer la gouvernance, la coordination entre les partenaires, la communication et la valorisation des résultats de l’ensemble du portefeuilleRésultats attendus
Les comités d’accompagnement (COMAC) et ainsi qu’une journée commune de symposium sont organisés tous les 6 mois, sur des sites tournant entre les 3 versants (France, Wallonie, Flandre). Des communications orales ou sous forme de posters sont régulièrement présentées dans des congrès internationaux en lien avec le biocontrôle et les thématiques de recherchePartenaires
GbsABT (porteur), Université de Lille, PCG, Materia Nova, URCAContact : Valérie Leclere - valerie.leclere[at]univ-lille[point]fr
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BIOPROD Nouvelles stratégies de production et de formulation de biopesticides faiblement toxiques
Date de début : 01/10/2016
Date de fin : 31/03/2021Financement
Budget total du Projet : 606 420€ 06
Montant du financement FEDER : 333 993€ 46
Taux de financement : 55 %Objectifs
L’objectif de BIOPROD est de lever les freins liés à la production industrielle de nouveaux biopesticides via des microorganismes producteurs dans le but de fournir dans un avenir proche des produits plus respectueux de l’Homme, de l’environnement et accessibles à un coût raisonnable.Résultats attendus sont
- L'optimisation des conditions de production et de purification des molécules ;
- Le développement de procédés innovants de production et de purification des molécules ;
- Des études détaillées de biodégradabilité et de toxicité des molécules sur différents modèles
- L’étude de la filière des produits phytosanitaires et l’analyse du marché transfrontalier par la rencontre d’acteurs
- La réalisation de nombreux essais de formulation afin de rendre ces molécules moins toxiques, plus stables, plus actives et faciles d'utilisation pour permettre leur commercialisation.
Partenaires
Université de Lille (porteur), Eurasanté, Lipofabrik, ISA Lille, Université de Liège, Université Catholique de Lille, Université de Gent, MaterianovaContact : François Krier - francois.krier[at]univ-lille[point]fr
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BIOSCREEN Nouvelles molécules biosourcées et multifonctionnelles pour le biocontrôle des agents phytopathogènes des cultures de la région transfrontalière
Date de début : 01/10/2016
Date de fin : 31/03/2021Financement
Budget total du projet : 108 220€ 18
Montant du financement FEDER : 59 521€ 13
Taux de financement : 55 %Objectifs
Répondre à une demande croissante pour le développement d’une agriculture durable respectueuse de l’environnement en recherchant de nouvelles molécules à activité antifongique et/ou inductrices de la résistance des plantes pour lutter contre des maladies des cultures sur la région transfrontalière.Résultats attendus
Identification de nouvelles molécules d’origine microbienne, multifonctionnelles pour le biocontrôle des agents phytopathogènes des cultures transfrontalières (Vigne, Blé, Cultures maraichères telles que poireaux ou salades). Les molécules recherchées et caractérisés sont des métabolites amphiphiles (Rhamnolipides et Lipopeptides) produits par des microorganismes du sol (microbiome de la rhizosphère)Partenaires
- URCA (porteur)
- Université de Lille
- Université Catholique de Louvain
- Université du Littoral Côte d'Opal
- Matéria Nova
- GbXABT
- Université d'Artois
- Université de Gent
- JUNIA
Contact : Valérie Leclere - valerie.leclere[at]univ-lille[point]fr
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BLUE Les Berges comme Leviers d’actions Urbanistiques et Environnementales
Date de début : 01/10/2019
Date de fin : 31/03/2021 - décalé au 31/12/2021 à cause de la crise sanitaireFinancements
Budget total du projet : 30 000 euros
Montant du financement FEDER total : 30 000 euros
Taux de financement FEDER : 100%Objectifs du projet
Les friches fluviales contiennent différentes ressources :- des zones humides, riches en biodiversité
- des espaces publics, en lien avec l’eau,
- du gisement foncier
- des infrastructures logistiques
- des traces patrimoniales
Ces atouts en font des espaces soumis à la pression immobilière. Vu l’objectif de la CE, visant à supprimer d’ici à 2050 l’extension des surfaces urbanisées et sa déclinaison dans les politiques régionales, cette pression ne fera que croitre. L’élaboration d’un atlas pédagogique et commenté et d’un jeu à portée pédagogique vulgarisant le rôle des acteurs du territoire transfrontalier, visent à valoriser toutes les ressources des friches fluviales et les métiers liés, afin de sensibiliser la population et les acteurs locaux à une gestion intégrée de ces ressources, en amont de futurs projets urbains. Ces dispositifs pédagogiques seront produits par des journées d’échanges et ateliers d’étudiants en architecture/urbanisme et disséminés au sein d’une exposition.
Résultats attendus
Pour répondre aux défis sur les friches fluviales, riches en ressources, les solutions proposées visent, d’une part, l’échange des connaissances à travers des journées d’échanges rassemblant des chercheurs issus de disciplines variées, des étudiants, des collectivités et gestionnaires locaux, et d’autre part, la valorisation et la dissémination de ces échanges grâce à l’élaboration d’un atlas pédagogique et commenté, un jeu vulgarisant le rôle des acteurs et l’organisation d’une exposition.Partenaires
- Université de Mons (porteur)
- Université de Lille
- Ville de La Louvière
- Intercommunale de développement économique et d’aménagement du Coeur du Hainaut
- SEM Ville Renouvelée
Contact : Pauline Bosredon
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DEPOLLUTAIR Couplages innovants de techniques de traitement des composés organiques volatils (COV) : Nouvelles voies pour améliorer la qualité de l’air
Date de début : 01/10/2016
Date de fin : 30/09/2021Financement
Budget total du projet : 2 722 790€ 46
Montant du financement FEDER : 264 191€ 32
Taux de financement : 55 %Objectifs
La politique actuelle de réduction des émissions de COV est de donner une priorité à la substitution totale ou partielle des COV utilisés à la source. Cependant, lorsque cette substitution à la source n’est pas possible pour des raisons techniques, il est alors nécessaire de trouver des solutions pour traiter ces émissions par de nouveaux procédés adaptés à de faibles concentrations de COV, tout en ayant une bonne efficacité énergétique et permettant un traitement total sans formation de sous-produits.Pour répondre à cette problématique industrielle et sur base d’une expertise précédente relative à la réduction des émissions de COV industrielles, le projet DepollutAir propose de développer de nouvelles méthodes de traitement innovantes basées sur le couplage de différentes techniques.
Résultats attendus
Le projet DepollutAir regroupe des compétences interrégionales complémentaires pour permettre le développement de ces nouveaux procédés. En effet, les techniques considérées pour le couplage sont l’adsorption, la catalyse, la photo-catalyse et les technologies plasma. L’UMONS apporte une expertise dans le développement d’unités pilotes et l’abattement des polluants par adsorption, l’Université de Namur (UNamur) apporte une expertise dans la synthèse des matériaux et la photo-catalyse, l’Université de Lille (ULille) apporte une expertise dans l’abattement des COV oxygénés par catalyse, l’Université du Littoral-Côte d’Opale (ULCO) apporte une expertise dans l’abattement des COV par catalyse et l’Université de Gand (UGhent) apporte une expertise dans la technologie plasma. Les différents couplages utilisés dans le projet sont : « Adsorption-Catalyse », « Plasma-Catalyse » et « Adsorption-Photocatalyse » .Pour répondre aux besoins de l’industrie et des autorités locales, nous devrons compléter nos études par des mesures réelles de polluants sur les sites industriels (ULCO)
Finalement, les procédés de traitement proposés doivent s’inscrire dans un développement durable et être sûrs du point de vue toxicologique, sans formation de molécules possédant un impact toxique pour l’homme à court et moyen termes. Par conséquent, pour valider nos méthodes, les études de toxicologie seront développées par une équipe de l’ULCO.
Ce projet compte accompagner les entreprises transfrontalières dans une démarche environnementale et durable pour leur proposer des solutions adaptées et innovantes pour le traitement des COV. Deux partenaires industrielles – un en France (TIM) et un en Belgique (Volvo) – seront impliqués à chaque étape du projet (de l’émission de COV à la solution).
Partenaires
- Université du littoral- Côte d’Opale
- Université de Namur
- Universiteit Gent
- Université de Mons
Contact
- Coordinateur Université du littoral- Côte d’Opale : Stéphane SIFFERT - stephane.siffert[at]univ-littoral[point]fr
- Responsable scientifique de l’Université de Lille : Jean-François LAMONIER - jean-francois.lamonier[at]univ-lille[point]fr
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DIG-E-LAB Recherche et innovation au service de la pédagogie numérique
Date de début : 01/10/16
Date de fin : 31/03/21Financement
Budget total du projet : 2 277 000 euros
Montant du financement FEDER : 1 138 500 euros
Taux de financement : 50%Objectifs du projet
L’objectif du projet Dig-e-Lab est de créer une dynamique d’excellence autour des dispositifs de formation en ligne, utilisant des supports vidéos, pour le contexte transfrontalier.Le consortium cible des formations dans des thématiques précises : les formations au bilinguisme, les formations dédiées aux métiers en pénurie/émergents et les formations aux métiers techniques avec des spécificités de part et d’autre de la frontière.
Résultats attendus
Trente cas d'études pertinents et variés seront alors analysés pour confirmer les hypothèses de départ mais aussi pour dégager des caractéristiques, des moteurs et des bonnes pratiques qui seront mises en avant par les partenaires au travers d'une communication adéquate.Ensuite, l'équipe lancera des actions de conception d'outils technologiques et non-technologiques qui seront intégrés dans 9 contenus existants dans le but de rendre l'outil pédagogique plus adaptatif et plus stimulant pour l'apprenant.
Le partenariat évaluera l'impact et la plus-value de ces dispositifs sur 3 terrains d'expérimentation et mettra en oeuvre des actions régulières de retour vers le terrain par des rencontres et des workshops avec les gestionnaires de formation. Un travail de dissémination et de valorisation sera réalisé à travers des conférences, articles de presse et newsletters répartis de manière adéquates sur toute la durée du projet et sur les 3 régions ciblées par le celui-ci.
Partenaires
- Université de Lille
- Eurometropolitan e-campus
- Université ouverte de la Fédération Wallonie-Bruxelles
- Katholieke Universiteit Leuven
- Multitel
- Agence du Numérique
Contact : Pierre André CARON pierre-andre.caron[at]univ-lille[point]fr
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PATHACOV Diagnostic précoce des pathologies humaines par analyse des composés organiques volatils dans l'air exhalé
Date de début : 01/10/2018
Date de fin : 30/09/2022Financement
Budget total du Projet : 3 093 067 €
Montant du financement FEDER : 127 304€ 59
Taux de financement : 50 %Objectifs
L’objectif du projet PATHACOV est de fournir aux médecins un outil électronique communicant et facile à utiliser pour des pré-diagnostics non invasifs et précoces du cancer du poumon. Pour développer cette technologie, le consortium PATHACOV comprend des équipes multidisciplinaires regroupant médecins, physiciens, chimistes, électroniciens, spécialistes des capteurs et des réseaux de capteurs. La principale difficulté est de pouvoir détecter plusieurs familles de composés organiques volatils (biomarqueurs) à faibles concentrations dans un environnement complexe avec des taux d’humidité très élevésRésultats attendus
Proposer un nez électronique afin d’identifier des marqueurs spécifiques du cancer broncho-pulmonaire dans l’haleine des patients à risque afin de dépister précocement l’apparition de ces cancers. L’approche multi disciplinaire de notre projet permet d’associer les compétences en physique, chimie et électronique afin de fabriquer un dispositif simple, peu coûteux et non invasif adapté à toutes les populations et utilisable par tous les acteurs de la santé sur nos territoires.Partenaires
- CHU Amiens Picardie
- CHU Lille
- CHU de Reims
- Eurasanté
- IMT Lille Douai
- KU Leuven
- Materia Nova
- Université Liège
- Université Catholique de Louvain
- Université de Lille
- Université de Mons
- Université de Reims
- Province West-Vlaanderen
Contact
Régis Matran (IMPECS) : regis.matran[at]chru-lille[point]fr
François Sihrener : francois.sihrener[at]chru-lille[point]fr -
RISSC Amélioration transfrontalière de la Prévention et de la Gestion des Risques du Sous-Sol engendrés par les terrains sous-Cavés
Date de début : 01/01/2018
Date de fin : 31/12/2021Financement
Budget total du projet : 1 493 060,19 €
Montant du financement FEDER total : 746 530,09 €
Taux de financement : 50%Objectifs
En raison d’une géologie continue et d’une histoire industrielle commune, les Régions de Wallonie et des Hauts-de-France comportent sur leur territoire de nombreuses cavités souterraines d’origines anthropique (mines, carrières …) et naturelle (karsts…), qui induisent souvent une menace à l’égard de la sécurité des personnes, des biens immobiliers, des projets d’aménagement et de l’attractivité socio-économique de certains territoires. C’est pourquoi le projet Risques Sous-Sol engendrés par les terrains sous-Cavés, RISSC, vise l'amélioration et la mise à disposition d’outils en matière de sécurité, d’aménagement du territoire, tant en prévention qu'en gestion d'incidents.Résultats attendus
- L’inventaire des objets souterrains et des menaces et la caractérisation des effets redoutés en surface
- Le développement de solutions locales adaptées pour suivre l’évolution de l’aléa et réduire le risque
- La création d’un pôle transfrontalier de connaissances et d’expertises à destination des acteurs locaux et du public, permettant la mise à disposition d’informations adaptées et directement utilisables.
Partenaires
- Institut Scientifique de Service Public (ISSeP)
- Centre d’études et d’expertises sur les risques, l’environnement, la mobilité et l’aménagement (CEREMA)
- Association des Communes Minières du Nord / Pas de Calais (ACM 59/62)
- Institut national de l’environnement industriel et des risques (INERIS)
- Université de Mons (UMONS) Service de Génie Minier
- Service Public de Wallonie (SPW)
- Ville de Lille
- Ville de Mons
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TRANSUNIV Education universitaire et insertion professionnelle en contexte transfrontalier
Date de début : 1er janvier 2018
Date de fin : 31 mars 2021Financement
Budget global : 1 589 411€
Il est financé à hauteur de 50% par les 6 partenaires et à 50% par Interreg, West-Vlaanderen, Oost-Vlaanderen et Fédération Wallonie-Bruxelles.Objectif
Le projet Interreg TRANSUNIV a pour ambition de construire un espace de coopération pérenne dans la zone transfrontalière Hauts-de-France-Wallonie-Flandre entre les universités partenaires et les acteurs socio-économiques, en ciblant la mobilité et l’insertion professionnelle des étudiants et doctorants. TRANSUNIV est destiné à assurer un impact durable sur les dispositifs de mobilité étudiante, de développement des stages ou de formations en alternance au sein des cursus de masters ainsi que des actions liées au doctorat en offrant des modules adaptés pour une meilleure connaissance des contextes socio-économiques, entrepreneuriaux et institutionnels des 3 versants de la frontière.Actions
Le projet se décline en plusieurs actions menées conjointement par les 6 opérateurs partenaires :- Le séminaire « projet d’innovation » dont l’objectif est de créer une collaboration concrète entre universités et un ou plusieurs partenaires non académiques (compagnies, organisations publiques ou privées) de la région transfrontalière. Pendant 3 jours, des doctorant-e-s de toutes les disciplines sont amenés à travailler ensemble sur des questions préalablement déterminées par des chercheurs seniors et à proposer des solutions innovantes. Deux éditions ont été organisées jusqu’à maintenant : une en 2018 à Mons autour du thème des « smart cities » et une en 2019 à Valenciennes sur le thème de la « santé digitale ».
- Le lancement d’appels d’aide à la mobilité transfrontalière pour les doctorants et étudiants. Ces actions d’accompagnement se déroulent tout au long de l’année.
- L’organisation de forums pour l’emploi dont le but est d’offrir aux doctorants une poursuite de carrière dans le monde académique mais également dans le monde socio-économique. Pour les 2 éditions organisées en 2018 à Gand et en 2019 à Mons, les doctorants ont bénéficié de contacts privilégiés avec des professionnels. Ils ont également pu assister à de nombreux ateliers destinés à les préparer au processus de recrutement.
La prochaine édition du PhD Job Day aura lieu en février 2021 en mode digital.
- L’organisation de formations sur toute la région transfrontalière avec pour ambition le développement des compétences transversales des doctorants d'ordre intellectuel, méthodologique, personnel et social. A ce jour 14 formations ont été dispensées et près de 200 doctorants les ont suivies.
- La rédaction du « guide pour un stage original » qui vise à favoriser et à amplifier la mobilité des étudiants en offrant une multitude d’informations. La sortie de ce guide est prévue pour la fin d’année 2020 ou tout début d’année 2021.
- Le rapprochement entre les doctorants / masters et le monde socio-économique par l’organisation de visites d’entreprises sous l’angle de la politique RH et de l’employabilité des différents profils.
A noter que la crise sanitaire a eu un fort impact sur le premier semestre de 2020. Néanmoins les partenaires sont restés mobilisés pendant l’arrêt de l’activité. Les réunions et comités ont continué à se tenir. Ils se sont adaptés au mieux aux nouvelles contraintes et ont proposé des événements digitaux à la rentrée.
Partenaires
- Université de Lille (chef de file)
- Katholieke Universiteit Leuven
- Universiteit Gent
- Université de Mons
- Université Catholique de Louvain (UCLOUVAIN FUCAM MONS)
- Université de Namur
Contact : Frederic Luginsland : frederic.luginsland[at]univ-lille[point]fr
Contact
Service transversal d'expertise et aide au montage de projets : stemp[at]univ-lille[point]fr