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L’Université de Lille encourage les membres de sa communauté à agir pour réduire leur empreinte climatique et s’engage à accompagner les initiatives et partenariats en matière de lutte contre les changements climatiques.

Projet carte carbone

Un dispositif pour limiter ses émissions individuelles de gaz à effet de serre

L’Université de Lille expérimente le projet de carte carbone universitaire, système original de réduction, mais surtout de limitation des émissions individuelles de gaz à effet de serre. En prenant en compte les émissions de l'université et les limites planétaires, des « quotas d'émissions » sont alloués à chacun.e sur certains postes émetteurs de gaz polluants, afin de ne pas dépasser un certain niveau d'émissions.

Bilan des émissions de gaz à effet de serre

Dans un souci d'amélioration continue, l'Université de Lille effectue le suivi de ses émissions de GES et en assure la diffusion de manière transparente.
Notre dernier bilan des émissions de gaz à effet de serre prochainement disponible.

Numérique responsable

L’Université de Lille s’engage à réduire la fracture numérique tout en limitant l’impact environnemental de ses infrastructures et usages numériques, en revisitant toutes les phases du cycle de vie du matériel informatique.

Les étapes :

  • La fabrication : en favorisant l’achat de matériel sobre, réparable, à impact environnemental réduit,
  • Les usages : conception sobre des services numériques et lutte contre l’obsolescence programmée,
  • La fin de vie de ce matériel : réparation, réutilisation et seulement après, recyclage.

Rénovation énergétique des bâtiments

Lauréate de l’appel à projets du Plan de relance et rénovation énergétique des bâtiments publics de l’État de 2020, l’Université de Lille bénéficie d’un financement total de 40 M€ TDC. Au programme : regroupement de l’IUT A sur le site unique du campus Cité Scientifique, et rénovations thermiques de la faculté de pharmacie et des bâtiments du secteur chimie (bâtiments C5 et C8) sur le campus Cité Scientifique.

Gain espéré ?

Environ 500 000 €/an, soit une économie d’énergie finale de 5 290 MWh et 1 123 tonnes de CO2 par an (environ 9 millions de km parcourus en voiture).